Reprendre voix
Deux années se sont déroulées sans que l’auteur du site ne dise mot. Je dis parfois que le silence est l’écrin de la parole pour qu’elle prenne sens. Le lecteur potentiel de ce site sera donc ravi que je me sois tant absenté. Ce que je vais dire aujourd’hui aura peut-être du sens.
Depuis la sortie de mon livre « De l’accueil de soi à l’éveil/ Un chemin de tendresse », j’ai poursuivi mon sentier de montagne avec la lenteur de l’âge en plus. Je dois le reconnaître, mes pas sont moins assurés qu’avant, et ceux qui m’accompagnent encore regarde de temps à autre derrière eux pour s’assurer que je suis parmi eux. Me voici donc ; ma tête ne m’ayant pas lâché, j’ai encore le verbe assez cohérent pour continuer à transmettre à ceux, plus rares, qui me questionnent, mes découvertes ontologiques et la manière dont elles façonnent mon quotidien.
Ce que j’appelle avec un certain aplomb l’éveil, dans mon dernier ouvrage, est en effet une sorte d’attitude quotidienne (différente d’avant et de celle de mon entourage) qui est l’application méticuleuse de mes découvertes sur la présence de SOI comme soubassement de mon activité mentale commune, que j’ai nommée « moi-je ». L’enracinement que j’évoque souvent dans mon livre comme l’une des étapes incontournables pour apaiser le mental. A cet endroit, je ne pense plus, je sens.
Reprendre voix sera donc largement consacré à ce changement d’attitude dans ma vie quotidienne. A suivre si la curiosité ne vous manque pas.
Je vous parlerai aussi d’une autre découverte incroyable ! Le fond de l’être humain est tendresse. J’avais déjà abordé cela dans mon livre, en évoquant le chemin de tendresse qui conduisait à l’éveil. Aujourd’hui, je puis l’assurer, le fond de l’être est tendresse.
Le pré-sapiens, avant l’âge de sept mois, est ni libido, ni pulsionnel. Il est tendresse. Une découverte fondamentale pour un vieux militant non-violent ! A suivre.
Reprendre voix
Deux années se sont déroulées sans que l’auteur du site ne dise mot. Je dis parfois que le silence est l’écrin de la parole pour qu’elle prenne sens. Le lecteur potentiel de ce site sera donc ravi que je me sois tant absenté. Ce que je vais dire aujourd’hui aura peut-être du sens.
Depuis la sortie de mon livre « De l’accueil de soi à l’éveil/ Un chemin de tendresse », j’ai poursuivi mon sentier de montagne avec la lenteur de l’âge en plus. Je dois le reconnaître, mes pas sont moins assurés qu’avant, et ceux qui m’accompagnent encore regarde de temps à autre derrière eux pour s’assurer que je suis parmi eux. Me voici donc ; ma tête ne m’ayant pas lâché, j’ai encore le verbe assez cohérent pour continuer à transmettre à ceux, plus rares, qui me questionnent, mes découvertes ontologiques et la manière dont elles façonnent mon quotidien.
Ce que j’appelle avec un certain aplomb l’éveil, dans mon dernier ouvrage, est en effet une sorte d’attitude quotidienne (différente d’avant et de celle de mon entourage) qui est l’application méticuleuse de mes découvertes sur la présence de SOI comme soubassement de mon activité mentale commune, que j’ai nommée « moi-je ». L’enracinement que j’évoque souvent dans mon livre comme l’une des étapes incontournables pour apaiser le mental. A cet endroit, je ne pense plus, je sens.
Reprendre voix sera donc largement consacré à ce changement d’attitude dans ma vie quotidienne. A suivre si la curiosité ne vous manque pas.
Je vous parlerai aussi d’une autre découverte incroyable ! Le fond de l’être humain est tendresse. J’avais déjà abordé cela dans mon livre, en évoquant le chemin de tendresse qui conduisait à l’éveil. Aujourd’hui, je puis l’assurer, le fond de l’être est tendresse.
Le pré-sapiens, avant l’âge de sept mois, est ni libido, ni pulsionnel. Il est tendresse. Une découverte fondamentale pour un vieux militant non-violent ! A suivre.
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